Base de Vicenza, le Conseil d'État rejette l'appel de Codacons
La quatrième section du Conseil d'État a rejeté le recours présenté par Codacons pour l'annulation de l'ordonnance Veneto TAR sur le nulla osta du projet d'expansion de la base américaine de Dal Molin. Le Conseil d'État a rejeté "la demande de modification, nouvelle suspension ou révocation". Le collège, présidé par Giovanni Vacirca, a estimé que "la demande de révocation formule des griefs qui n'intègrent pas les exigences de l'article 395 du Code civil italien, mais constituent la réitération de litiges déjà examinés par l'ordonnance rendue sur le recours préventif, n'étant donc pas recevables. "Les juges de Palazzo Spada, en rejetant l'appel, ont souligné que déjà dans l'ordonnance donnant le ok à la base. Molin, l'environnemental la question avait été examinée et la "mesure de précaution accordée en matière de premiers secours (par le TAR de Vénétie) a été rejetée, notant qu'aucune raison de dommage environnemental n'apparaît." Également pour le référendum populaire demandé par Codacons, la phrase stipule que cela n'est pas prévu par mais est une éventualité examinée par les directives communautaires La question des problèmes environnementaux dérivant des travaux a été l'un des points forts de Je connais Codacons qui avait parlé "d'erreurs d'appréciation" de l'ordonnance précédente du Conseil d'Etat du 29 juillet dernier. A cet égard, les juges ont également rappelé que le "grief est irrecevable car l'ordonnance n'a pas d'effet décisionnel et les considérations qui y sont faites sur les motifs et la recevabilité du recours ne lient pas le jugement au fond, mais ne constituent actuellement que l'une des conditions d'appréciation de l'existence des conditions de la demande conservatoire ». Sur le deuxième point de protestation des Codacons, à savoir la nécessité d'un référendum populaire étant le domaine d'intérêt communautaire, les juges ont écrit que selon la directive CEE N.92/43 du 21 mai 1992, en matière d'habitats naturels et semi-naturel "se limite à fournir 'le cas échéant' l'acquisition de l'opinion de l'opinion publique".